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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 16:54

 

Dormir, le casse-tête de nos nuits

par Stéphanie Torre

 

 

 

Crevés, épuisés, éreintés, nous souffrons tous de fatigue chronique. Nous ne rêvons que de repos, mais la nuit, impossible de trouver le sommeil. Pourquoi dormir est-il devenu si compliqué ? Enquête sur le mal du siècle.

 

 

Dormir du sommeil du juste, la France ne rêve que de cela. Une enquête

OpinionWay de 2013 l’a révélé : nous sommes 70 % à ouvrir les yeux au moins

une fois par nuit, et plus d’un tiers d’entre nous souffrent d’insomnies. 

 

Mais que se passe-t-il pour que nous ne dormions plus qu’à moitié ?

 

Une perte de temps

 

L’époque n’aime pas le repos. Dans un monde où l’on travaille de plus en plus

souvent en horaires décalés, la nuit est une perte de temps. Et dormir est devenu

contre-productif.

« Il est même admis que l’on peut impunément empiéter sur son temps de 

sommeil, puisque celui-ci est contraignant », déplore Joëlle Adrien,

neurobiologiste, directrice de recherche à l’Inserm et coauteure des  

"Mécanismes du sommeil " (Le Pommier, 2013). Notre « hyperéveil », voilà donc

un des nouveaux éléments perturbateurs de notre bon repos. Toujours sur le pont, sur le qui-vive, nous ne décrochons plus. Ou mal : 42 % des Français gardent leur portable allumé sur leur table de chevet et 64 % sont régulièrement réveillés par des messages… qu’ils lisent dans deux tiers des cas. « Peu à peu, notre sommeil ressemble à celui, haché et perturbé, des one call, comme on désigne, outre-Atlantique, les travailleurs susceptibles d’être appelés à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, poursuit la spécialiste. En alerte permanente, soumis à de fréquentes montées d’hormones de stress, nous avons du mal à accéder à un repos bénéfique, même si nous dormons, en moyenne, sept heures par nuit. » 

Chez les psychanalystes, même constat : l’extrême vigilance qui nous caractérise depuis peu, voilà ce qui nous mine, aussi. Sournoisement. « Aujourd’hui, sans que cela soit explicitement formulé, tout le monde est soumis au même régime : priés d’être efficaces, rapides, réactifs, multitâches, nous vivons, sans même en avoir conscience, sous une pression constante qui nous lamine. Et chacun avance comme il peut… Dire que l’on est épuisé est devenu si banal que plus personne n’y prend garde » explique la psychanalyste et philosophe Anne Dufourmantelle, coauteure de « Se trouver. Dialogue sur les nouvelles souffrances contemporaines » (Lattès,2014). 

 

Un autonettoyage du cerveau

 

En abîmant notre sommeil au nom de la performance et de la rentabilité, nos modes de vie ont fini par nous faire oublier l’essentiel : dormir est un besoin vital. 

Dormir ne servirait pas seulement à recharger le corps et l’esprit comme on le dit souvent, mais permettrait surtout de « nettoyer » le cerveau. 

Une étude menée fin 2013 par les universitaires de Rochester, dans l’Etat de New York, a en effet mis en évidence l’existence d’un réseau de canalisations cérébrales où circulerait un liquide servant à collecter les protéines toxiques accumulées durant la phase d’éveil. En augmentant son volume de plus de 50 % durant les phases d’endormissement, ce flux constituerait un système d’autonettoyage indispensable à la survie de l’organe. D’où leur conclusion : c’est la nécessité de cette « vidange » qui provoquerait le besoin de dormir et toute défaillance dans cette belle machinerie jouerait un rôle majeur dans de nombreuses maladies neurodégénératives (Alzheimer, Pick, Parkinson…).

Limiter son temps d’exposition aux écrans informatiques le soir, tout en s’exposant à la lumière naturelle pendant la journée, reste un bon moyen de ménager son sommeil. 

Autres facteurs contemporains délétères pour notre qualité de sommeil : la sédentarité et l’enfermement. Véhiculé, assisté, l’humain moderne entretient même ses contacts via son ordinateur. Une économie d’énergie qui l’épuise ? Logique : moins on stimule l’éveil pendant la journée, moins on a l’habitude d’en faire et plus on compromet la qualité du sommeil la nuit. 

 

À chacun sa nuit idéale

 

Le monde n’étant pas près de se calmer, sortir de cette spirale infernale de la fatigue est-il possible ? La création de l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV), en 2000, le laisse penser. En France, comme dans tous les pays européens, cette problématique contemporaine est devenue une question de santé publique. Et l’éclosion, sur tout le territoire, d’une cinquantaine de « centres du sommeil » agréés le confirme : il faut informer et éduquer sur ce facteur essentiel de la santé. Mais toutes leurs recommandations permettent-elles d’inverser la tendance ? « Ce travail de sensibilisation n’est pas inutile, constate Joëlle Adrien. Mais il est certain que crier au danger n’est d’aucune efficacité si les gens n’ont pas envie de changer. » Pour renouer avec les nuits calmes, nulle autre solution, donc, que la prise de conscience. Il faut certes procéder à des aménagements pratiques (pas trop de chauffage, de lumière, de bruit…), mais surtout prendre conscience de ce que l’on fait pendant la journée et tenter de mieux comprendre son propre chronotype. « Notre besoin de sommeil dépend de notre génétique. Gros ou petit dormeur ? Lève-tard ou couche-tôt ? A chacun de déterminer la durée de repos qui lui est nécessaire, à partir d’une seule règle : la nuit idéale est celle qui permet de se sentir reposé et d’avoir un bon fonctionnement dans la journée », poursuit la directrice de recherche. Apprendre à se connaître pour composer avec qui l’on est, c’est aussi ce que suggère Anne Dufourmantelle. « Je ne crois pas aux auto-­injonctions du type “Il faut que je dorme !” qui ajoutent du stress au stress, conclut la psychanalyste. La réconciliation avec le repos doit passer par un autre chemin. Celui d’une consolidation progressive de son espace intérieur… » 

 

Enquête à retrouver en intégralité dans le numéro Février-Mars de CLES 

 

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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 07:59
citation du jour   #

Aujourd'hui, j'avais envie de partager avec vous cette belle citation...

"Ne vous découragez pas ; c'est souvent la dernière clef du trousseau qui ouvre la porte."

Paulo Coelho

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 14:17
le sourire intérieur  #

« La joie engendre le sourire,

et le sourire engendre la détente,le calme et la joie.

Pour sourire, je n’attends pas de ressentir de la joie ;

le sentiment de joie peut très bien naître plus tard.

Etant seul dans ma chambre, je me souris parfois.

Je le fais par bienveillance envers moi-même, pour prendre soin de moi, pour me donner de l’amour.

Je sais que si je ne prends pas soin de moi, je ne pourrais pas prendre soin d’autrui. »

Thich Nhat Hanh

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 13:57
Les trois tamis

Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit :

- Ecoute Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.

- Arrête ! Interrompit l'homme sage. As tu passé ce que tu as à me dire à travers

les trois tamis ?

- Trois tamis ? dit l'autre, empli d'étonnement.

- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu a as à me dire peut

passer par les trois tamis. Le premier est de celui de la Vérité. As tu contrôlé si

ce que tu as à me dire est vrai ?

- Non; je l'ai entendu raconter, et ...

- Bien, bien. Mais assurément, tu l'as fait passer à travers le deuxième tamis.

C'est celui de la Bonté. Ce que tu veux me dire, si ce n'est pas tout à fait vrai,

est-ce au moins quelque chose de bon ?

Hésitant, l'autre répondit : non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire

...
- Hum, dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il e
st

utile de me raconter ce que tu as à me dire ...

- Utile ? Pas précisément.

- Eh bien, dit Socrate en souriant, si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni

utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier ...

A mettre en pratique dans notre quotidien et à conseiller vivement aux politiques et aux journalistes!

"Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde " Ghandi

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 18:18

Je connais quelques personnes atteintes de fibromyalgie

Si cette vidéo peut leur être utile....

la séance proposée n' a aucune contre-indication ; Elle peut donc être utilisée par des personnes n'ayant pas cette maladie .

 

 

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 10:56

     jarres

 

Le porteur d'eau avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.


L'une des jarres conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître. L’autre jarre avait un éclat et perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages.


La jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sans faille sa fonction du début à la fin.
La jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce qu’elle aurait voulu faire. Elle vivait cela comme un échec permanent. Au bout de deux années, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.


"Je me sens coupable, j’ai honte et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"
"Depuis 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau, je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau. Par ma faute, et malgré tous tes efforts, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée.


Touché par cette confession, et plein de compassion, le porteur d'eau répondit :"Pendant que nous retournons à la maison du maître, je te demande de regarder les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin".


En montant la colline, la vieille jarre pu voir sur les bords du chemin, de magnifiques fleurs baignées de soleil. Cela lui mit du baume au c?"ur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.


Le porteur d'eau dit à la jarre "Tu t'es rendu compte qu'il y avait de belles fleurs uniquement de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? J'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de ton coté du chemin, et chaque jour tu les as arrosées. Grâce à toi, pendant 2 ans, j’ai pu cueillir de magnifiques fleurs pour décorer la table du maître.

Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et aussi belles."

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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 05:37
j'ai déjà publié sur ce sujet
cette fois c'est une petite vidéo

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 10:32

 

Alexandre Jollien, vous vous souvenez, j'ai déjà publié sur lui.


Connaissez vous Alexandre Jollien ?

 

Leçon de vie avec Alexandre Jollien


Le voici dans une vidéo ...

Il parle de" l'abandon" que l on peut remplacer par "le lâcher prise". et là aussi, une notion déjà traitée mais combien difficile à vivre !

Encore de belles leçons!

 

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 18:02

Voici la fiche de la respirations des pharaons .

I = inspiration

E = Expiration

 

Bon entraînement   

 

à jeudi 

 

yoga-des-pharaons.JPG

 

 

Yoga des Pharaons de Babacar Khane

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30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 20:23

 

Tu apprendras à distinguer tes désirs de tes besoins profonds

 

 

 

Se jeter sur des sucreries pour évacuer son impression de fatigue, acheter de nouveaux objets pour calmer ses angoisses sont des stratégies de fuite, des réponses rapides à des désirs immédiats. Mais peuvent-elles réellement vous combler ? Lorsque vous ressentez l’envie urgente de faire du shopping, demandez-vous ce qui ne va pas. De quoi avez-vous besoin à ce moment précis : de repos ? de parler à quelqu’un ? de vous défouler en faisant du sport ? Connaître ses besoins essentiels permet d’y répondre de façon constructive et évite la multiplication d’objets… ainsi que des kilos en trop !

 

                               Tu réduiras tout au strict minimum

 

 

 

Ce qui est en excès prête à confusion. Trois comptes en banque, quatre sacs à main… Avez-vous le temps de profiter réellement de chacun d’eux ? Simplifiez ! Celle qui ne possède qu’une seule lime à ongle, efficace et fiable, sait toujours où la trouver. Au niveau psychique ou relationnel, il faut appliquer la même discipline : faites grandir les liens avec un seul ami plutôt qu’avec dix autres que vous sentez peu fiables. Concentrez-vous autant que possible sur un seul sujet. Entraînez-vous à ne faire qu’une chose à la fois.

 

                                   Tu ne garderas que le beau et l’utile

 

 

 

Nous consommons trop parce que nous ne sommes jamais satisfaits de ce que nous avons. Investissez dans un seul objet d’excellente facture plutôt que dans dix « pas trop mal ». Choisissez un organiseur d’une qualité telle qu’il durera trente ans. Offrez-vous un tableau dont la vue vous comblera plutôt que vingt bibelots fabriqués en série. Au niveau mental, sélectionnez les pensées qui vous encouragent. Dès que vous vous surprenez à avoir à l’esprit quelque chose de mesquin ou de vain, chassez-le. Préférez les pensées centrées sur ce que vous aimez et admirez, et celles qui vous aident à avancer.

 

 

                                   Tu préféreras l’authenticité à la quantité

 

 

 

Substituer la qualité à la quantité revient à ne s’entourer que de matières nobles et durables. C’est manger peu, mais des aliments savoureux, frais et non traités. C’est aussi préférer le bois au plastique, le lin naturel ou le coton au polyamide. Un conseil : avant d’acheter, demandez à toucher, peser, tester. Regardez les étiquettes et débusquez les colorants, le synthétique, l’imitation, le faux. Rien ne doit être en toc dans votre vie.

 

 

                                  Tu créeras ton propre style

 

 

 

Il ne suffit pas de posséder des objets de qualité, il faut aussi savoir les harmoniser. Que la tasse blanche soit parfaite avec le plateau noir, le plateau avec la table, la table avec le canapé, le canapé avec la pièce, la pièce avec votre personnalité. Simplifier son existence, c’est s’efforcer de former un tout, d’avoir un style de vie correspondant à ses goûts, à ses affinités, à ses valeurs profondes, qui se reflétera autant dans votre living que dans la musique que vous écoutez. Ainsi, vous créerez de la cohérence entre votre environnement, vos biens et la personne que vous êtes.

 

 

                                Tu privilégieras l’espace et le silence

 

 

 

Des villes bruyantes et pleines de monde, de voitures, d’agitation, des bureaux où le téléphone sonne sans arrêt, des émissions de télé dans lesquelles les gens ne parlent pas mais crient… Comment trouver un peu d’espace et de silence ? Eux seuls permettent de se ressourcer et de se vider la tête afin de faire de la place au nouveau. Eux seuls vous donnent une réelle sensation de liberté. Veillez à l’insonorisation de votre habitation. Régulièrement, accordez-vous quelques heures de silence sans télé, sans radio. Faites savoir à votre entourage que vous vous reposez entre telle et telle heure… et faites-le vraiment !

 

 

Tu posséderas sans être possédé

 

 

 

Une fois que votre environnement vous semblera avoir atteint le confort et la qualité nécessaires, accordez moins d’importance à tout ce qui est matériel. Donnez, offrez, revendez les biens dont vous ne vous servez pas ou plus. Vivre avec moins permet d’apprécier pleinement ce qui apporte des joies spirituelles ou intellectuelles. Trop de gens sont esclaves de leurs possessions : ils travaillent pour les acheter, les abriter, les assurer, et dépensent leur énergie et leur temps pour les entretenir, les déplacer, et même s’en débarrasser ! Posséder ce dont on a besoin pour vivre est juste. Mais il ne faut pas accorder aux objets plus de prix qu’aux expériences et… qu’à soi-même.

 

 

Tu resteras le plus libre possible

 

 

 

Vivre sans contrainte et sans pression n’est peut-être qu’un rêve. Il est cependant possible de s’alléger de bien des pesanteurs en ne dépensant pas plus que l’on ne gagne, en ne faisant pas d’emprunts (excepté pour sa maison). Vous éviterez aussi de vous compromettre en faisant des promesses ou des confidences dont vous pourriez devenir prisonnier et, pour ne pas être alourdi par la culpabilité, vous reconnaîtrez votre part de responsabilité lorsqu’arrivent les ennuis. C’est en ne s’attachant ni aux objets ni aux idées, ni à l’image que l’on veut donner aux autres, que l’on devient maître de soi, autonome, c’est-à-dire plus libre.

 

 

Tu prévoiras l’avenir pour profiter du présent

 

 

 

Nos plus grandes peurs ? Devenir un jour très vieux, malade, pauvre ou seul. Autant prévenir le mal en faisant tout ce qui est en notre pouvoir aujourd’hui pour retarder l’inéluctable. Ces craintes auront alors moins d’emprise. Vous pouvez dès aujourd’hui prendre soin de votre santé, et éviter la peur de manquer en économisant. Dépensez pour vos besoins plus que pour vos désirs, entourez-vous de beau et de durable. Si, un jour, les choses tournaient mal, c’est de cela dont vous aurez besoin pour ne pas vous sentir encore plus mal. Quelle que soit la destination, et surtout si elle est inconnue, quand on est préparé, on voyage plus léger.

 

 

Tu nourriras un sentiment d’abondance

 

 

 

Vivre avec peu n’empêche pas de vivre dans l’élégance et le raffinement. Le secret ? Se sentir riche. Riche de pouvoir rire, aimer, lire, penser, bouger. Songez à tout ce que vous avez : l’eau, l’air, la nourriture, l’éducation, l’amitié, l’accès à la culture, à la nature, aux soins médicaux, un toit… De vrais trésors accessibles à la majorité d’entre nous, mais que nous ne considérons pas comme tels parce qu’ils ne portent ni prix ni étiquettes. Prenez le temps de cultiver vos dons, d’embellir votre vie, de profiter pleinement de tout ce que vous avez en vous et autour de vous. Cela vous évitera d’aller chercher ailleurs une richesse qui est déjà là, ici et maintenant.

 

 

 

 

 

CONÇU PAR PASCALE SENK ET DOMINIQUE LOREAU, AUTEUR DE “L’ART DE LA SIMPLICITÉ” – ROBERT LAFFONT

 

 

 

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