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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 20:30

considéré comme un luxe chez nous

c'est un soin d'hygiène et de santé, un art de vivre en Orient :

le massage.........

 

 

En fin de semaine dernière, j'ai eu la chance d'en recevoir un, pratiqué par une jeune femme extraordinaire.

Son professionalisme allie douceur et fermeté. Sous ses doigts,  les endroits sensibles ou douloureux  disparaissent en douceur, le corps renaît dans sa globalité.

Voici son site les fées du massage

 

Bienfaits du massage : aspects physiques

Bienfaits du massage sur le corps

Le massage permet de prendre soin du corps. Les différentes techniques appliquées contribuent à procurer une meilleure silhouette et des courbes parfaites. Il agit également sur la peau et aide à traiter les imperfections cutanées.

Les principaux bienfaits du massage sur le corps sont :

  • L'atténuation des douleurs au niveau du cou, du dos, de la tête, des pieds et du nerf sciatique.
  • Le soulagement des douleurs lombaires.
  • La réduction des tensions et l'assouplissement des muscles.
  • L'évacuation des toxines et des graisses à l'origine des cellulites.
  • Un corps tonifié.
  • Un adoucissement de la peau.
Bienfaits du massage sur l'organisme

Moyen thérapeutique millénaire, le massage possède des vertus exceptionnelles et apporte des bienfaits incontestables sur l'organisme. Ainsi, le massage :

  • Favorise le sommeil.
  • Agit sur la constipation en améliorant la digestion.
  • Permet une meilleure circulation sanguine et lymphatique.
  • Aide à prévenir les maladies.
  • Chasse la fatigue.
  • Améliore la circulation de l'énergie.
  • Contribue au traitement de maladies graves comme le cancer.
  • Aide à mieux traiter l'asthme.
  • Facilite l'accouchement.

Bienfaits des massages : aspects psychologiques

En agissant sur le corps, le massage a des effets positifs sur l'esprit, l'attention et la prise de conscience des émotions. Il apporte au patient une énergie nouvelle en :

  • Lui procurant un bien-être total.
  • Le relaxant.
  • Lui apportant détente et bonne humeur.
  • L'aidant à lutter contre le stress, l'anxiété et l'état dépressif.


 

un cadeau à faire, à se faire ;-)

 et à consommer sans modération............

 

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 17:47

 

                                                        yeux-fermes.png

Le yoga peut sembler une discipline égoïste, nombriliste.

En effet, on le pratique souvent les yeux fermés, sans s'occuper de son voisin.

Le professeur nous invite à nous écouter, à rentrer à l'intérieur de nous ...

Mais ce temps pour soi, est un moyen d'être ensuite mieux avec les autres.

Alain avait déjà écrit sur le sujet....

 

 

 

Le devoir d'être heureux...

 

 Il n'est pas difficile d'être malheureux ou mécontent; il suffit de s'asseoir,comme fait un prince   qui attend qu'on l'amuse. Il n’est pas toujours facile d'être heureux; c'est un combat contre énormément d'événements et contre plusieurs d’hommes. Il se peut que l'on y soit vaincu; il y a sans doute des événements et des malheurs insurmontables; mais c'est le devoir le plus impérieux peut-être de ne point se dire vaincu avant d'avoir lutté de toutes ses forces. Et surtout, ce qui me paraît encore plus évident, c'est qu'il est impossible que l'on soit heureux si l'on ne veut pas l’être; il faut donc souhaiter son bonheur et le faire.

 Ce que l'on n'a point assez dit, c'est que c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux. Quoi de plus difficile à surmonter que l'ennui, la tristesse ou le malheur de ceux que l'on aime? Tout homme et toute femme devraient penser continuellement à ceci : que le bonheur, j'entends celui que l'on conquiert pour soi, est l'offrande la plus belle et la plus généreuse.


 Alain, Propos sur le bonheur

 

source

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 19:00

                                                 pecheur-mexicain.png

 

 

Dans un petit village mexicain, un bateau rentre au port. Un touriste américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses prises et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.

"Pas très longtemps" répond le pêcheur. "Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus?" demande l’Américain.

Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent à assurer la subsistance de sa famille. Et l’Américain demande: "Mais que faites-vous le reste du temps?" "Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis, nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie."

L’Américain l’interrompt: "J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Et avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un autre puis un autre, jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre votre poisson à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico, Los Angeles ou peut-être New York, d’où vous dirigeriez toutes vos affaires."

"Et combien de temps cela prendrait-il?" demande le pêcheur. "Dix ou 20 ans." "Et après?" "Après? C’est là que ça devient intéressant: quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions." "Des millions? Mais après?" "Après? Vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…"

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 13:03

Un jour, on a demandé au Dalaï Lama...

                     Dalai-Lama.png

 


Qu'est-ce qui vous surprend le plus dans l'humanité ?
Il a répondu :
" Les hommes...
Parce qu'ils perdent la santé   
pour accumuler de l'argent,

 
ensuite ils perdent de l'argent 
pour retrouver la santé.....

 
Et à penser anxieusement au futur,
ils oublient le présent,
de telle sorte qu'ils finissent par ne vivre 
ni le présent ni le futur....


Ils vivent comme s'ils n'allaient 
jamais mourir...
... Et meurent comme s'ils n'avaient 
jamais vécu..."

 

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 10:55

citation-churchill-2.JPG

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 10:01

                           abbaye-7.png

 5 Oser l’humilité

« Soyez toujours un débutant. » Shunryu Suzuki, fondateur de monastères zen aux États-Unis (In Esprit zen esprit neuf (Seuil, 1977)).

Le bénéfice : adopter la posture du débutant permet de sortir des jeux de rôle de l’ego – imposés ou choisis –, d’évoluer dans la connaissance de soi et des autres, de ne pas s’accrocher à des croyances erronées ou limitantes et de se rendre disponible aux opportunités que la vie nous envoie. Sortir de la toute-puissance du « moi je » nous déleste d’un poids considérable et rend également les relations avec les autres plus fluides et plus authentiques. Dernier bénéfice de l’humilité : elle favorise la prise de conscience des principes d’impermanence de toutes choses et d’interdépendance entre les êtres.


La pratique : accueillir la critique, argumentée et respectueuse, et examiner ses actes, ses choix, son comportement par son filtre. Elle entraîne une remise en question, facteur de progrès. Oser dire simplement « je ne sais pas » lorsque c’est le cas, sans se justifier. Demander de l’aide, des conseils à son entourage privé ou professionnel, établir des relations égalitaires et enrichissantes. Reconnaître ses erreurs, ses fautes, savoir s’excuser ou demander pardon.

 

à pratiquer

 

source  Psychologies magazine sept 2012

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 09:57
4 Cultiver la stabilité

« Même si votre situation est difficile, ne soyez pas pressé d’aller ailleurs. Ne suivez pas l’exemple de ceux qui viennent d’atteindre le sommet d’une montagne et s’imaginent trouver mieux à côté. » Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste vietnamien (InEntrez dans la liberté (Dangles, 2000).

Le bénéfice : la stabilité, par la répétition consciente des actes et des gestes, est un facteur de progrès spirituel, intellectuel et manuel, et la garantie d’un vrai plaisir de faire, car c’est par la constance que vient la maîtrise. Autre bénéfice de la stabilité par la ritualisation du quotidien : renforcer le sentiment de sécurité intérieure et d’appartenance au groupe – familial, amical ou professionnel. Enfin, la persévérance face aux difficultés est sans doute l’un des meilleurs antidotes à la confusion mentale et à l’insatisfaction chronique, deux maux propres à notre culture du zapping tous azimuts. C’est en effet en persévérant que l’on peut se découvrir de nouvelles ressources et que l’on renforce son estime de soi.

 

La pratique : réintroduire des rites collectifs – repas, rendez- vous, fêtes… – dans son groupe familial ou amical. Ritualiser ses rendez-vous – papiers administratifs, sport, méditation, soins… – à jours et à heures fixes, puis mesurer les progrès obtenus. Lister ces progrès dus à la persévérance, dans tous les domaines. Essayer d’honorer tous les rendez-vous et engagements de la semaine ou du mois, sans les reporter ni se trouver d’excuses. Énumérer, à l’aide d’un ami chargé d’apporter la contradiction, les avantages qu’il y aurait à changer de relation, d’emploi, de lieu de vie, etc.

 

 

à suivre

 

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 09:56

3 Pratiquer l’hospitalité

« Lorsqu’un moine étranger se présente au monastère, on le recevra autant de temps qu’il le désire pourvu qu’il ne trouble point le monastère par ses exigences. » Saint Benoît (In La Règle de saint Benoît (Cerf, 2009)).

Le bénéfice : en dépit des apparences, l’altérité est le parent pauvre de notre culture, qui favorise l’individualisme et incite à former des groupes de « mêmes ». Pourtant, rien n’est plus fécond que la rencontre avec la différence, l’étrangeté inhérente à l’autre : elle est source d’étonnement, d’enrichissement et de renforcement de sa propre identité. Accueillir celui qui ne nous ressemble pas, mais qui nous respecte, bouscule nos croyances et nos préjugés. Accueillir l’autre dans notre univers, recevoir sa différence nous permet également d’éprouver nos limites, nos valeurs et notre capacité à nous remettre en question. Cette ouverture – d’esprit et de territoire – développe notre empathie et réduit nos peurs imaginaires, toutes fondées sur la crainte de l’inconnu.

 

La pratique : adopter de temps en temps, mentalement, un point de vue différent, voire opposé au sien afin de voir le monde et les autres par un autre prisme. Ouvrir son groupe, amical, professionnel ou familial, en déjeunant, en recevant, en travaillant avec une personne que l’on n’aurait pas choisie spontanément. Ouvrir sa maison en échangeant avec des inconnus, en accueillant des enfants défavorisés en vacances, en lançant des invitations spontanées…

 

à suivre.

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 09:54
2 Méditer et prier

« Ce que tu médites le matin, garde-le dans l’esprit tout le jour : applique-toi diligemment à cela, c’est d’un grand profit. » Sainte Thérèse d’Ávila (« Avis de la Mère Thérèse de Jésus à ses religieuses » in OEuvres complètes(Desclée de Brouwer, deux tomes, 2007 et 2008)).

Le bénéfice : méditer et prier… Dans la plupart des traditions religieuses, les deux notions se confondent. Méditation et prière consistent à plonger en soi pour mieux se déployer à l’extérieur. Il s’agit de s’ancrer dans l’ici et le maintenant, via ses sens, ses émotions, puis de se relier à plus grand que soi. Dans ce mouvement de l’intérieur vers l’extérieur, les angoisses s’apaisent et le mental se clarifie. Méditer, la science l’a prouvé, est l’un des meilleurs antidotes à l’anxiété. Dans un monde vécu comme de plus en plus menaçant, trouver en soi un lieu-ressource procure un sentiment de sécurité. Par ailleurs, méditer, ne serait-ce que quelques minutes par jour, renforce la concentration et régule les fonctions cardiaques. Prier, en étant en demande, aide à prendre conscience de ses vrais besoins – les souhaits égocentriques et superficiels s’éteignent rapidement –, à solliciter de l’aide et à sortir des jeux de rôle de la toute-puissance.

 

La pratique : émailler sa journée de pauses sensorielles de « pleine conscience » – je respire vraiment, je regarde vraiment, j’écoute vraiment, je touche vraiment, je goûte vraiment. Au réveil et au coucher, prendre cinq minutes pour inspirer et expirer – inspirer, compter jusqu’à dix, expirer lentement, puis recommencer –, les yeux fermés, jusqu’à ce que l’on se sente détendu et allégé. Oser prier à haute voix – demander pour soi, pour les autres, ou bien remercier – ou écrire ses prières dans un cahier prévu à cet effet.

 

à suivre

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 09:38

non,non je ne souhaite pas rentrer dans les ordres

et encore moins vous le proposer.

Mais j'ai trouvé intéressant  cette article de Falvia Mazelin Salvi ...

 

                                   abbaye de Sénanque

 

Pour retrouver la paix intérieure, inutile d’enfiler une robe de bure. Plus simplement, nous pouvons nous inspirer chaque jour des principes de sagesse communs aux grands ordres religieux.

 


 

Se retirer des turbulences du monde, s’offrir le luxe du temps et du silence, plonger en soi pour redonner du sens à sa vie… Ce n’est pas un hasard si les retraites spirituelles connaissent un succès croissant. On y vient chercher un rythme apaisant ; on y vit, pendant quelques jours au moins, comme ces hommes ou ces femmes que l’on se prend parfois à envier, tant leur existence semble pleine et sereine.

L’ascèse monastique serait-elle le nouveau Graal ? Elle a en tout cas donné des clés à Sébastien Henry, formateur de coachs, qui vient de publier Quand les décideurs s’inspirent des moines (Dunod, 2012), et à l’historien Jacques Dalarun qui, dans Gouverner c’est servir (Alma Editeur, 2012), voit les ordres religieux comme « les laboratoires de nos démocraties ». Ces vies vouées à la spiritualité, construites sur les deux piliers que sont l’intériorité et la communauté, nous ont également inspirés. Parce qu’elles peuvent nous aider à donner une assise à notre quotidien, plus d’attention à nos relations, nous avons choisi d’adapter à la vie profane les cinq grands principes communs à toutes les règles monastiques, occidentales et orientales.

Une ascèse à pratiquer avec constance et modération, comme le précise saint Benoît, qui invite son lecteur à « n’établir rien de rigoureux ni de trop pénible ».

 

1 Entrer dans le silence

« L’apôtre nous recommande le silence lorsqu’il nous ordonne de travailler. Et le prophète témoigne également que le silence est l’observation de la justice ; et ailleurs : dans le silence et l’espérance sera votre force. » Règle primitive de l’ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel (In La Règle du Mont-Carmel (Desclée de Brouwer, 1982)).

Le bénéfice : seul un temps conscient de silence peut redonner du sens et du poids aux paroles que l’on prononce en quantité et qui, venant s’ajouter au brouhaha ambiant, ne font que renforcer au fond de soi le sentiment d’une grande solitude existentielle. Faire silence, ce n’est pas se retirer, s’extraire, mais au contraire vivre sa présence au monde d’une façon plus profonde, plus consciente. Le silence entraîne l’observation, la contemplation, il éclaire souvent la compréhension et donne aux échanges une saveur et une valeur nouvelles. Y entrer permet également – c’est une évidence, mais encore faut-il l’expérimenter pour s’en convaincre – de mieux écouter, dans le sens d’un accueil généreux de la parole de l’autre.

 

La pratique : se fixer un rendez-vous silence régulier (par exemple, le jeudi de 18 heures à 20 heures) et noter les émotions et sensations éprouvées. Avec son conjoint : faire une balade dans la nature, en silence, main dans la main et échanger seulement au retour. Avec les enfants : ménager des temps sans écrans ni son, autour d’activités manuelles (cuisine, modelage, peinture…). Au bureau, pour ceux qui le peuvent, choisir de travailler une matinée entière en silence, en prêtant une attention critique à ce que l’on aurait dit (questions, réactions) en temps ordinaire. Au cinéma, au musée : s’abstenir de commenter en direct, différer la parole pour aiguiser sa réflexion et pouvoir mieux argumenter.

 

 

 

à suivre ;-)

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