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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 10:00

J'ai reçu cette info.

Peut-être une occasion pour vous d'une pratique supplémentaire pour une bonne cause .

 


reepy

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 06:20

 

 

 


Voici un truc qui va vous permettre de vous calmer, de retrouver l'équilibre et de vous « re-grounder » (vous enraciner),  quand tout va pas comme prévu.


                                galet.png

 


1- Simplement mettre une main sur votre front. Utilisez la paume de votre main.


2- Mettez votre autre main sur le derrière de votre tête à la même hauteur. Vous créerez un «champ magnétique» entre vos deux mains.


3- Tenez cette position pendant au moins 3 minutes ou jusqu'à ce que vous en décidiez autrement. Il est recommandé de respirer profondément en même temps.


C'est tout !


Pour être encore plus confortable, vous pouvez le faire coucher sur le dos.


Vous pouvez aussi demander à quelqu'un de vous le faire...c'est parfois encore plus efficace.


Je n'irai pas dans tous les détails pour vous expliquer pourquoi et comment ça marche, mais voici un résumé :

 
Avez-vous remarqué que, lorsqu'on a peur, on devient blanc et lorsqu'on est en colère, le visage devient rouge ?


Pourquoi ? C'est la fameuse fight or flight response. Le combat ou la fuite.

 

Imaginez un de nos ancêtres qui marche dans la plaine. Tout à coup, un tyrannosaure ou un autre grand carnassier se dresse devant lui avec la ferme intention de casser la croûte avec notre pauvre ami.


Notre ami devient TRÈS blanc...pourquoi ? Parce que tout le sang a quitté le haut de son corps pour aller se retrouver dans ses jambes...pour qu'il puisse se pousser le plus vite possible.


Imaginons qu'il entre dans sa caverne...et surprend son ami avec sa femme... Il tourne alors au rouge et est prêt à se battre.


Pourquoi rouge ? Car tout le sang est remonté dans le haut de son corps, prêt au combat. (ex. ongles, mains, dents, muscles du haut du corps etc.)


C'est un mécanisme très utile lorsque l'on vit dans le milieu de la jungle...mais plus ou moins parfait dans nos vies de tous les jours.


Ce qui arrive est que le stress est devenu « permanent » pour beaucoup de personnes. Vous êtes constamment dans le mode « fuite ou combat ». En fait, le sang quitte la partie frontale du cerveau.


En mettant vos mains comme je vous l'ai indiqué, vous permettez au sang de retourner et de retrouver « votre sang froid » et « votre capacité à penser clairement ».


La main en arrière est appuyée sur les points de la panique. 

En médecine chinoise il y a 5 rythmes. Chaque personne est plus d'un ou un mélange de différents types. Chaque rythme a une « faiblesse » qui se manifeste en état de stress. Dans le cas des gens de feu (comme moi), c'est une forme de panique/hystérie.


Les points sur le derrière de la tête que je vous ai montré servent à calmer, à libérer la panique. C'est ce qu'on nomme les points neurovasculaires.


Alors voilà,


Amusez-vous et soyez bien!


Olivier Magnan

trouvé ici

 

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 12:57

Pour quelques instants retrouver une âme d'enfant et accueillir en toute simplicité.

 


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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 15:50

 posture de yoga physique planche-1.JPG

 

 

et une variante plus facile. planche-2.JPG

 

 

Et il y a aussi les planches que Geneviève monte avec aisance.

La première de la compagnie Rexpression dont elle fait partie a eu lieu samedi ; leur nouvelle pièce : Un beau salaud 

Du bonheur : des rires, des gags, de la bonne humeur ! Le tout servi sans prise de tête par une équipe bien sympathique !

Je vous conseille d'aller voir notre amie et ses comparses de scène, vous passerez un agréable moment.

A noter, cette pièce sera  jouée  le 29 novembre à Bergues , salle Looten au profit du Téléthon.

 

un beau salaud 001-copie-1

 

beau-salaud-2-001-copie-2.jpg


 

 

photos de postures prises ici

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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 16:00

Alexandre Jollien, né le26 novembre 1975 à Savièse, est un écrivain et philosohpe suisse.

À cause d'un étranglement par cordon ombilical à sa naissance, il est atteint d'athétose.

De 3 à 20 ans, il vit à Sierre dans une institution spécialisée pour personnes handicapées.

Il entre au Lycée de la Planta à Sion en 1997 qui lui ouvre les portes de l’Université de Fribourg où il obtient une licence en lettres au printemps 2004. Il étudie également le grec ancien au Trinity College de Dublin de 2001 à 2002.

Il se marie en 2004 avec Corine, Suissesse rencontrée à Dublin. Ils ont trois enfants : Victorine (30/10/2004), Augustin (31/03/2006) et Céleste (03/01/2011).

Son premier ouvrage, Éloge de la faiblesse, paru en 1999, a été accueilli par le prix Mottart de l’Académie Française de soutien à la création littéraire et le prix Montyon 2000 de littérature et de philosophie. Il a été mis en scène en 2007 par Charles Tordjman au théâtre de la Manufacture à Nancy. La même année, il aide Bernard Campan à écrire le scénario de La Face Cachée.

Spécialiste de philosophie hélleniste, il est également conférencier et intervient dans le cadre du rapport au handicap, comme dans une vidéo pour Pôle emploi en France.

Alexandre Jollien a été couronné par le Pierre Simon « éthique et société » pour l'ensemble de son œuvre.

  • Eloge de la faiblesse, Cerf, 1999 
  • Le Métier d'homme, Seuil, 2002 
  • La Construction de soi, Seuil, 2006  
  • Le Philosophe nu, Seuil,2010  
  • Petit Traité de l'abandon: Pensées pour accueillir la vie telle qu'elle se propose, Seuil, 2012 

 

 

Conversion du regard par Alexandre Jollien

Spinoza lance dans son Éthique une phrase qui m'aide, chaque jour, à vivre le handicap. L'assumer, c'est l'œuvre d'une vie. Ici, nul acte définitif, tout reste provisoire. Constamment, je m'interroge : « Comment puis-je assumer mon infirmité ici et maintenant ? » En osant écrire « Par réalité et perfection, j'entends la même chose », Spinoza m'apprend que c'est la comparaison avec d'autres réalités que la mienne qui crée chez moi un sentiment de privation. Prenons un exemple assez fidèle à la tradition spinoziste. Lorsque je contemple un moineau virevolter de branche en branche, je ne regrette absolument pas de ne pas avoir d'ailes. Imaginons cependant qu'autour de moi tout le monde en ait. Il y a fort à parier que j'en voudrais aussi et que subitement elles me feraient cruellement défaut ! Sans les créer tout à fait, la comparaison accentue nos faiblesses. Souvent, sur le handicap physique, mental ou psychique, peut se greffer un handicap social : être handicapé sous le regard d'autrui, être ainsi pour l'autre. 

Je ne me sens nullement infirme quand je me promène avec mes enfants dans la rue. Certes, je suis un peu lent, facilement sujet à la fatigue, mais, à leurs yeux, je n'apparais pas comme « le handicapé », je suis simplement « papa ». Parfois, un rire bref, un doigt tendu, des coups de coude viennent me rappeler la différence qui choque, perturbe. Mais soyons précis, je préfère le mot « singularité ». Il nous aide à considérer chaque personne comme un individu à part entière et à refuser les étiquettes. Il nous empêche de nous installer sur le terrain de la comparaison : je suis différent par rapport aux autres. Ainsi, le handicap, comme toute autre fragilité, peut être une porte ouverte sur notre condition. En effet, l'envisager, c'est parler de l'être humain. Méfions-nous des ghettos et ne nous trompons pas de combat. Nous mobiliser pour les droits de la personne handicapée, c'est lutter contre chaque forme d'exclusion, c'est faire la promotion de l'humanité tout entière et de chacun de ses membres. 

Vivre cette réalité nous montre également que l'homme est irréductible à une définition, qu'il échappe aux normes et que sa dignité ne se réduit pas tout à fait à son efficacité. La société considère souvent ce qu'elle peut apporter aux « plus fragiles ». Cependant, si elle lui prêtait davantage l'oreille, elle pourrait en tirer mille enseignements. D'abord, l'extrême nécessité de la solidarité, qui n'est pas seulement une valeur éthique mais un instrument de joie. Nous sommes des animaux sociaux, nous pouvons compter sur nos semblables pour exister et pour nous créer dans la joie. Tous les jours, je fais l'expérience de l'aide qui, loin de m'aliéner, me grandit. L'autre m'est nécessaire pour m'épanouir, pour être. À l'heure où l'on glorifie sans vergogne le self-made man, celui qui a plus manifestement besoin de soutien vient nous rappeler ce qui nous constitue : la relation, l'ouverture et la disponibilité. 
Mais gardons-nous de tout paternalisme ! Être handicapé, c'est aussi et surtout faire l'expérience du don, de l'échange. Il n'y a pas d'un côté celui qui reçoit et de l'autre celui qui donne. Précisément, la richesse de la société, c'est cette communion de la faiblesse. Et pour qui convertit son regard, celle-ci n'est pas toujours où nous la croyons. En ce sens, les médias peuvent permettre ce changement de regard, tenter de congédier la pitié et la commisération pour inviter au respect, à l'audace de la rencontre authentique.

ALEXANDRE JOLLIEN 
(source La Vie)

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 15:47

Une vidéo de Florence Servan Schreiber pour goûter les petits bonheurs

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 05:46

Connaissez vous cette dame surprenante ?

 

      Louise Eugénie Alexandrine Marie David, plus connue sous le nom de Alexandra David-Néel, née le 24 octobre 1868 à Saint Mandé (Val de Marne, à l'époque Seine), morte à près de 101 ans le 8septembre 1969 à Digne (Alpes de haute Provence, à l'époque Basses-Alpes), de nationalitésfraçaise et belge, est une orientaliste, tibétologue, chanteuse d'opéra, franc-maçonne, journaliste, écrivaine, exploratrice, et bouddhiste. Elle fut, en 1924, la première femme d'origine européenne à séjourner à Lhassa au Tibet, exploit dont les journaux se firent l'écho un an plus tard en 1925 et qui contribua fortement à sa renommée, en plus de ses qualités personnelles et de son érudition.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 12:44
une question de philo   pour nous aujourd 'hui.
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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 15:13

 

Mal au cou : les solutions

 

Suite à un choc, un excès de stress ou une mauvaise posture prolongée, on se retrouve avec la zone des cervicales nouée, endolorie, voire le cou complètement "bloqué". Les solutions pour relâcher les tensions et retrouver sa liberté de mouvement.

Essayer de se détendre

detendre.png

"L'une des causes les plus classiques des douleurs cervicales est le stress, qui se traduit par des tensions musculaires au niveau des trapèzes et du cou, avec à la clé des blocages type torticolis. Toutes les solutions qui peuvent permettre de mieux gérer son stress sont donc bonnes à prendre", assure Xavier Dufour, kinésithérapeute. Gyms douces type yoga, sophrologie, cours de relaxation, exercices de respiration... on opte pour la solution qui nous détend. Et on mise en phytothérapie sur des plantes comme la valériane ou la passiflore, qui ont une action sédative et décontractante.

Miser sur la chaleur

miser-sur-la-chaleur.png

Grâce à son action vasodilatatrice, la chaleur améliore la circulation locale et favorise la détente

 musculaire. "Mais elle n'est efficace que dans les cas simples, lorsque la douleur est liée à des

 

tensions musculaires, et son action est limitée à quelques heures", précise Xavier Dufour. Cela peut déjà permettre de calmer le jeu en interrompant le cercle vicieux douleur/ contracture. Tous les moyens sont bons : utiliser un patch auto-chauffant qui délivre de la chaleur en continu pendant 8h (Merchurochrome, SyntholKiné, Thermacare...), placer au micro-ondes un pack réutilisable (Nexcare), un coussin rempli de noyaux de cerises (chez Natures et Découvertes par exemple) ou une serviette humide, utiliser un gel chauffant à base de camphre (Akiléïne, Kinésport), etc.

 

Se faire masser

se-faire-masser.png

"Le problème de l'auto-massage du cou, c'est qu'il faut utiliser son propre bras, donc solliciter les trapèzes. Pour favoriser la décontraction, mieux vaut demander à quelqu'un, même inexpérimenté, de vous masser", conseille Xavier Dufour. Il peut par exemple utiliser ses pouces pour masser en descendant du haut du cou vers les trapèzes, avec un gel ou une huile à base de plantes et d'huiles essentielles décontractantes (Cartimotil Gel, Pilèje ; Gel de massage décontractant, Platz ; Huile de massage bio Effort musculaire, Puressentiel) pour faciliter le mouvement. "Le massage a toujours un intérêt car le toucher permet de court-circuiter le message de la douleur au niveau nerveux, même si l'effet n'est que de courte durée", ajoute le spécialiste.

Corriger sa position devant l'ordinateur

 

corriger-sa-posture-copie-1.png

"De plus en plus de douleurs cervicales viennent d'une mauvaise posture prolongée devant l'ordinateur, avec un regard trop bas et des cervicales qui s'enroulent", explique Xavier Dufour. Ses conseils pour éviter ces tensions permanentes : lorsqu'on est assis et qu'on se tient droit, le 1/3 supérieur de l'écran doit être à hauteur du regard. Si besoin, on peut le surélever en plaçant par exemple un gros livre dessous. Il vaut mieux également éviter les ordinateurs portables pour une utilisation en continu car ils forcent à baisser le regard. Et opter pour un siège de bureau avec des accoudoirs (les bras sont posés et soulagent les tensions sur les trapèzes) dans lequel on cale bien son dos. 

 

 

Faire des étirements

etirer.png

Pour gagner en mobilité au niveau des cervicales, il existe des exercices à faire au quotidien en prévention et même lorsqu'on est un peu "coincé". 
Pour compenser la tendance à enrouler le dos et les cervicales : assis, dos droit, chercher à tirer les épaules en arrière et reculer la tête en rentrant un peu le menton. Le but n'est pas de tenir la position toute la journée mais de faire 4 à 5 fois au cours de la journée une série de 5 à 10 mouvements. 
Pour étirer le cou : placer la main droite par dessus la tête de façon à avoir le bout des doigts de la main droite au niveau de l'oreille gauche. Avec la main, tirer la tête vers l'épaule droite. Revenir au centre et recommencer 4 à 5 fois. Faire la même chose du côté gauche
.

Porter un collier cervical, mais pas en continu

                                                                   porter-un-collier.png

La fameuse "minerve" en mousse (sans ordonnance, autour de 10 € en pharmacie) n'est pas forcément à déconseiller. Dans les cas où le problème vient de contractures musculaires (torticolis par exemple), elle est intéressante pour éviter les mouvements douloureux et limiter le cercle vicieux douleur/ contracture si on a vraiment mal. On peut la porter quelques heures pour certaines activités ou la nuit. "Mais attention à ne pas la porter en continu au risque de ne plus oser le mouvement et de favoriser la raideur : il faut continuer à bouger", prévient le kinésithérapeute.

 

 

Consulter si la douleur persiste

docteur

Si malgré les solutions "maison", la douleur et les blocages persistent, mieux vaut consulter son médecin généraliste. Il pourra prescrire des traitements anti-douleur (antalgiques, anti-inflammatoires utiles notamment en cas d'arthrose au niveau du cou et myorelaxants) et surtout une radio, pour écarter un éventuel problème type hernie discal, indispensable avant toute manipulation manuelle. Il peut aussi prescrire des séances de kiné (remboursées) pour des massages ou orienter vers un ostéopathe ou unchiropracteur de confiance. Via des manipulations cervicales, ces derniers peuvent parfois débloquer la situation en une seule séance (si le blocage est lié à un choc ou un faux mouvement par exemple).

 

Article lu sur Médisite santé

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:59

 

 

 

Lâcher prise, le "oui" à ce qui est, faire avec ce qui nous traverse

àl'instant ...autant de mots , d'expressions qui jalonnent les textes

fondateurs du yoga et qui parfument vos cours.

 
Cet article est une mise en pratique de ces notions dans un moment de

colère.

 
C'est très intéressant....à moins que VOUS ne soyez jamais en colère ?  

 

Laisser l’émotion nous traverser

  

colere.png

 

Au moment où j’écris ces lignes, je suis très en colère 

 

Une personne m’a énormément déçue. Je sens un manque de respect de sa part. Cela m’affecte. Mais au lieu de nourrir ma colère, comme à mon habitude, je décide ici même de me laisser traverser par elle.

Tout à l’heure, je suis effectivement passé par plusieurs phases qui ne faisaient qu’alimenter ma colère. J’ai parlé de la situation avec ma conjointe. Nous avons échangé nos opinions. Nous émettions des jugements et nous plaignions de son attitude. Bref, cela aurait pu durer encore des heures ! Et de toute façon cela n’aurait rien changé. Ce qui est arrivé est arrivé. Maintenant, le plus important pour moi est de retrouver ma stabilité. Et je dois vous avouer qu’en cet instant cela fonctionne plutôt bien. L’émotion commence peu à peu à perdre du pouvoir. Je suis en train de retrouver mon calme. Le fait de coucher des mots sur le papier  m’apaise. Je partage avec vous ce que je ressens et cela me fait un bien fou. C’est une expérience très enrichissante.

 

En fait, ces temps-ci j’arrive beaucoup mieux à gérer mes émotions, notamment la colère. Et cela n’est pas le fruit de la chance ou du hasard. C’est plutôt grâce à ma persévérance. J’ai traversé des épisodes douloureux quim’ont fait prendre conscience de ma façon de fonctionner. Et à force de pratique, de remise en question et de mise en place de nouvelles habitudes, cela finit par payer. Il était temps, car je vous avoue que je commençais à en avoir vraiment raz-le-bol.

 

Il y a longtemps que je désire mieux gérer mes émotions comme la colère. Je savais ce qu’il fallait faire en théorie.Mais c’était trop compliqué pour moi. Je n’arrivais pas à me défaire de mes comportements destructeurs. Chaque fois que j’étais un peu bousculé, je perdais ma tranquillité. Je me laissais facilement envahir par la peur, la tristesse ou la colère. Vous savez certainement de quoi je vous parle. C’est très désagréable de ressentir ces émotions négatives, d’autant plus quand cela dure longtemps.

 

Alors, si vous souhaitez apprendre à maitriser vos émotions ne vous battez plus avec elles ! Il faut savoir qu’étymologiquement le terme émotion veut dire “mettre en mouvement”. L’émotion n’est rien donc qu’un mouvement qui se crée à l’intérieur de nous. Et comme cela nous fait peur nous voulons la chasser. Seulement, par cette attitude nous la faisons exister de plus belle. Tout est donc une question d’attitude envers nos émotions. En observant ce mouvement qui apparait, sans juger, sans vouloir le contrôler, mais au contraire en ayant une attitude de bienveillance et d’ouverture, l’émotion finit par disparaitre.

 

Je vous laisse expérimenter de votre côté. Quand à moi, je peux tranquillement aller me coucher, car je viens de retrouver mon calme. 

 

En Résumé :

Ressentez l’émotion

Laissez la vous traverser

Acceptez, observez ce qui se passe

Restez tranquille, n’alimentez pas

Laissez l’émotion s’en aller

 

 trouvé ici

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