Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Dates à retenir

Condette 2024

31 mai, 1er, 2 juin   

 

 

 

 

 

Catégories

5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 08:21

Bonjour 

 

 

Comme promis au cours, je vous rappelle que nous ne nous verrons pas le 18 octobre .

 

Je vous donne toutes les coordonnées du " Maraîcher  Flamand"

 

Rue Paul Claudel

 

59229 Téteghem

 

03 28 65 82 10

 

aldttg@papillonsblancs-dunkerque.fr

 

 

 

ici un lien, vers le site    link

 

 

 

Je vous retrouve le 25 octobre.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 16:13

Méditer au Bureau

 

par Marc de Smedt

 

Rien de tel que prendre le temps de méditer pour prolonger la relaxation des vacances. Pour ressourcer votre mental sur votre lieu de travail, quelques astuces suffisent.

En cette rentrée automnale, beaucoup d’entre nous se trouvent soumis à de fortes doses de stress. Même dans ce contexte, il est possible de vivre des moments de méditation à toute heure de la journée, dans le cadre de nos activités quotidiennes.

Pour cela, il faut observer deux règles : d’abord, avoir conscience que l’on a un corps. Par exemple, assis à une table de travail, redresser sa colonne vertébrale sans l’adosser au siège, mettre ses mains bien à plat, soit sur ses cuisses soit sur le bureau, ressentir la présence de ses pieds, eux aussi à plat sur le sol. Arrêter de fixer l’ordinateur ou ses papiers en mettant ses yeux en position mi-close ce qui donne un regard centré à la fois sur l’intérieur de soi et sur l’extérieur, qui devient flou.

Ensuite, prendre conscience de sa respiration. C’est la clé de toute méditation réussie.

Remarquez une chose évidente : la plupart du temps, sauf lorsque nous faisons un effort assez violent créant un essoufflement, nous ne sommes pas conscients du fait que nous respirons. Notre respiration est faible, elle se situe en haut des poumons, elle nous fait survivre sans plus. Il s’agit à la fois d’amplifier et d’inverser ce processus. Pour cela, il faut passer à un mode d’expiration profonde, une expiration lente et longue, dont la fin se situe dans l’abdomen, sous le nombril. L’inspiration revient alors naturellement, d’un coup, sans décision volontaire. Cette respiration est le meilleur outil qui soit, pour s’oxygéner certes, mais surtout pour mieux canaliser notre univers mental. La respiration consciente se confond en effet avec la conscience tout court : quand vous respirez ainsi, vous vous mettez en état d’attention lucide ; dès que vous sortez de cette vigilance, de cette présence à votre expir et à votre inspir, la sarabande des pensées reprend. A l’inverse, dès que vous y revenez, vous sortez du tourbillon.

Cette pratique peut s’effectuer n’importe où, au bureau, dans le métro, en marchant dans la rue : dès que l’on s’aperçoit qu’on perd le contact avec la réalité et que l’on engloutit corps et âme dans ses pensées, il suffit de revenir à la respiration profonde – en expirant volontairement et en laissant l’inspiration se faire d’elle-même – et très vite, on se retrouve dans l’état de conscience qu’elle développe si l’on y est attentif. C’est tout et c’est immense : tout le b.a. ba de la méditation se trouve dans cette simple pratique-là. 

 

A méditer :

« Quand j’inspire, je sais que j’inspire, 

quand j’expire, je sais que j’expire. » 

Le Bouddha
 

A lire et à écouter : 

« Méditer » de Jon Kabat-Zinn, avec un CD dit par Bernard 

Giraudeau, Les Arènes, 2010, 160 p., 24,80 €.

« Techniques de méditation », par Marc de Smedt, Albin Michel Spiritualités vivantes, 1983, 284 p., 8 €.

 

 

J'ai trouvé cette article ici link


 

 

Partager cet article
Repost0
15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 07:17

Bonjour.

Patricia et Jacques continuent leur voyage, tout va bien.

Ils auront énormément de choses à nous raconter.

 

Reprise du yoga le jeudi 13 septembre.

 

La pensée du jour :

"Faire un effort quotidien pour celui ou celle qu'on aime est comme une déclaration d'amour sans

cesse renouvelée".

A bientôt

Françoise

Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 12:30
Je ne résiste pas à l'envie de partager cette chronique de Jean Claude Kaufmann que je viens de lire.
"je sais qu'il ne suffit pas de le décider pour être heureux. Mais sentez cette caresse du soleil, écoutez bien cet oiseau qui chante...."

 

 

En mai que ton cœur soit gai.
Certains lecteurs se souviendront peut–être que je m’étais vanté, dans une ancienne chronique, de mes exploits de bûcheron. Chacun ses loisirs, moi, j’aime fendre le bois ! Lorsque je lève bien haut ma hache, j’ai même l’impression d’être super musclé. Illusion, hélas, l’écart entre le rêve et la réalité est manifeste. Résultat de cet orgueilleux aveuglement : un terrible lumbago.
Quand la douleur est là, plus rien d’autre ne semble compter, toutes les pensées passent par elle. Et l’on se dit, je me suis dit : « Dès que je serai guéri, je le jure, j’apprécierai le bonheur infini de simplement ne pas être malade, je saurai profiter avec intensité de la moindre minute de cette vie si merveilleuse. » Je vous rassure mon lumbago a vite disparu. Mais, le problème, c’est qu’aussitôt j’ai oublié ma promesse.Je suis revenu à mon existence, râlant contre un retard de train ou me faisant un sang d’encre parce que j’avais raté la sauce de mon poisson en croûte.
Pourquoi, pourquoi donc n’arrive-t-on pas à apprécier comme on le devrait le bonheur ordinaire, celui de tous les jours ? Vivre sans gros problèmes (quand il y a de gros problèmes, bien sûr, c’est différent) devrait être un enchantement perpétuel. Le bonheur que l’on ressent très bien quand il arrive sans prévenir, par surprise. Une rencontre bouleversante, un compliment touchant, un ticket gagnant au Loto. Alors le cœur bondit dans la poitrine et l’air se fait plus léger. La félicité a un vrai goût délicieux. Souvent, cela ne dure guère, mais on sait qu’il faut en profiter. Hélas, le bonheur ordinaire, on ne sait pas.
J’en étais là de mes réflexions quand un rayon de soleil a éclairé ma fenêtre. Des oiseaux chantaient. Ah oui, tiens, c’est le printemps. Le printemps ! Mais oui, voilà l’occasion idéale. Le printemps, ça n’arrive pas par surprise. Tous les ans c’est pareil. Mais ce n’est pas tout à fait la même chose que le reste de l’année non plus. Je ne parle pas seulement des fleurs, du soleil, des oiseaux, mais de cette impression de renaissance, de ce parfum de jeunesse qui enivre même quand on a 60 ans. Le printemps est l’occasion que nous devons saisir pour apprendre à vivre avec intensité le bonheur ordinaire. En Mai fait ce qu’il te plaît, que ton cœur soit gai !
Evidemment, je sais, tout cela n’est pas si simple, il ne suffit pas de le décider pour être heureux. Mais sentez cette douce caresse du soleil sur la peau, écoutez, écoutez bien, cet oiseau qui chante. Il plane dans sa mélodie gazouillante pleine d’entrain, il est heureux lui, c’est évident. Prenons exemple sur l’oiseau, apprenons à nous abandonner, à nous laisser prendre par le rythme de la saison si belle. En Mai, comme les oiseaux, nous devrions tous avoir le cœur gai. Et rien ne nous interdit de chanter !
Chronique de Jean-Claude Kaufmann

 

Profitez bien de votre week end et de tous les autres jours...ordinaires !

Partager cet article
Repost0
11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 08:53

 

 

 Voici le mois de Mai où les fleurs volent au vent................

avec quelques jours de retard, je vous adresse à tous

ces brins de muguet en vous souhaitant tout le bonheur possible !

 


Hier, c'était la reprise .

Je rappelle  que jeudi prochain est férié:

nous nous retrouvons le 24 mai.

Partager cet article
Repost0
12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 15:18

La semaine prochaine , il n'y a pas cours.

C'est moi qui me pose sur le tapis!

Ensuite, ce seront les vacances de printemps.

Nous nous retrouverons le 10 mai .....

Partager cet article
Repost0
26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 10:27
Comme promis lors du dernier cours, je vous adresse le texte lu....
à méditer sans modération !
Il était une fois, en Inde, un village où tous les habitants étaient aveugles. Vint à passer, non loin de là, un roi en superbe équipage. Ce roi voyageait à dos d’éléphant, animal inconnu dans cette partie de la terre. En entendant parler d’une bête nouvelle, apparemment phénoménale, plusieurs aveugles du village se rendirent en délégation auprès du roi et de sa cour. On les autorisa à toucher l’éléphant qui se laissa faire. Quand ils retournèrent à leur village, un grand nombre d’aveugles se rassemblèrent autour d’eux et leur demandèrent une description de l’animal.
Le premier aveugle, qui n avait touché que l’oreille dit :
- C’est un animal large et plat, un peu rugueux comme un vieux tapis.
Le second qui avait touché  la trompe, dit aux autres aveugles :
- C’est long, mobile et cru, un peu comme un tuyau.
Le troisième aveugle qui avait touché une patte dit :
- C’est solide et stable, comme une colonne.
Les habitants du village ne s’estimèrent évidemment pas satisfaits, et demandèrent d’autres détails, mais les trois aveugles furent incapables de s’accorder. Le ton de la discussion s’échauffa. Ils en vinrent à se battre à coups de canne.

 

Nous sommes tous des aveugles car, non seulement chacun de nous méconnait sa véritable nature, mais en plus, nous avons une vision limitée de la réalité. Nous sommes dans l’aveuglement, car ce que nous percevons de la réalité est partiel, et coloré par notre expérience subjective. Nous sommes dans l’ignorance totale !
A.Desjardins le dit autrement : «  Nous voyons toujours par rapport à nous, c'est-à-dire que nous ne voyons rien. »
L’analyse de cette condition dramatique d’ignorance se trouve dans les yoga sutra de Patanjali : » la principale cause de souffrance est avidya ( ne pas voir) Yoga Suta  Patanjali - II -4
« la non connaissance du réel est cause de souffrance » Y.S .P-II-24
Mais aussi un espoir, une promesse : » La souffrance à venir peut être évitée » Y.S.P -II -16
Partager cet article
Repost0
9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 12:32

Bonjour à tous

Par ce grand froid et suite aux interventions bienveillantes de Françoise,

Annie Blanckaert, adjointe aux sports a examiné nos soucis de chauffage.

Plusieurs possibilités ont été envisagées...

Pour tout le mois de février, nous pratiquerons dans la salle du conseil municipal, à l'étage de la mairie.

C'est donc là que nous nous retrouverons ce soir, à l'heure habituelle.

A tout à l'heure !

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 10:09

Je vous joins une copie d'un article  de RUE 89, sur les méfaits du yoga.........................

 

quand il est mal pratiqué ;-)

 

 

vous comprendrez sans doute mieux pourquoi je vous propose toujours dans les postures

 

d'aller "à votre maximun SANS  RIEN FORCER...puis de revenir un peu en deça  "       ;-)

 

                                                          """""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""

 

 

 

Quand on le prend pour un sport, le yoga peut abîmer le corps
Renée Greusard | Journaliste 

 
Un homme fait du Yoga (Ron Sombilon Gallery/Flickr)
« Comment le yoga peut bousiller votre corps », titrait la semaine dernière le New York Times un long article de plus de cinq pages. « Ah bon ? », a-t-on pensé. Le yoga, on l'associe généralement au calme et à la douceur.
Le récit est écrit à la première personne. L'auteur, William J. Board, qui pratique le yoga, explique :
« En 2007, alors que je travaillais la posture de l'angle étiré, saluée comme un soin pour beaucoup de maladies, mon dos m'a lâché.
En perdant mon dos, j'ai aussi perdu la foi, naïve – je dois le reconnaître à posteriori – que le yoga était source de guérison. Il peut aussi faire mal. »
Le journaliste évoque ensuite le travail du neurophysiologiste W. Ritchie Russell, qui, en 1972, a publié un article dans un journal médical anglais. Il explique que certaines postures du yoga pouvaient –quoique rarement– causer des attaques, même chez des personnes jeunes et en bonne santé.
Ce sont les mouvements au niveau du cou qui seraient en cause. En 1973, d'ailleurs, un chercheur de l'université médicale de Cornell, Willibald Nagle, relatait un cas étrange. Celui d'une jeune femme de 28 ans qui avait eu une attaque.
« Incapable de marcher sans assistance »
Elle était en train de travailler la posture de la roue quand :
« Son cou s'est penché un peu trop en arrière. Elle a commencé à ressentir un mal de tête lancinant. Puis elle a ressenti des difficultés à se lever, et une fois aidée à se mettre debout, elle était incapable de marcher sans assistance. »
Les médecins ont découvert qu'une de ses artères vertébrales avait réduit tandis que l'artère alimentant son cervelet avait subi de sérieux déplacements. Ce n'est que deux ans plus tard qu'elle a pu recommencer à marcher.
Qu'on puisse se faire mal en faisant du yoga, « c'est certain », dit Christine Laurion. Cette passionnée de yoga le pratique depuis quinze ans et l'enseigne à Paris depuis cinq ans. Cependant, elle pense qu'une blessure est d'abord le signe d'une mauvaise pratique.
« On va se faire mal, si on change de prof tout le temps ou si on essaie d'aller trop vite. Pour faire du yoga, il faut de bonnes bases. »
L'ahimsa : « ne pas nuire »
Isabelle Morin Larbey, présidente de la Fédération nationale des enseignants de yoga :
« Le yoga c'est un point de vue sur le monde, une sagesse et l'un de ses premiers principe c'est l'ahimsa : “ne pas nuire.” Il n'est donc pas question de se faire mal. C'est l'essence même du yoga. »
Si les gens se font mal, c'est en fait surtout parce qu'ils font des choses qui ne ressemblent pas tellement à du yoga.
Devenue super à la mode, la pratique de la philosophie indienne a attiré vers elle de plus en plus de monde. Aujourd'hui, en France, 3 millions de personnes déclarent faire du yoga. Autant que le tennis.
Aux Etats-Unis, l'engouement est particulièrement fou. Le New York Times raconte, dans son article, un passage de 4 millions de pratiquants en 2001 à 20 millions aujourd'hui.
« Les gens font de l'acrobatie, pas du yoga »
La prof Christine Laurion :
« Il y a de nouvelles formes de yoga, qui ont émergé pour attirer le public, comme le “yoga trend” notamment ou “l'ahstanga yoga” d'abord destinés aux ados. Ce sont des déclinaisons du yoga qui ont été introduites comme des sports et sont aujourd'hui en pleine effervescence.
Les cours sont nombreux... Trouver un bon cours de yoga aujourd'hui, c'est comme chercher une bonne assurance : c'est la jungle. »
Isabelle Morin-Larbey martèle :
« Le yoga, ce n'est pas du sport. Il n'est jamais question de compétition dans le yoga. Il faut que le corps soit dilaté pour accéder à la méditation.
Ces nouvelles pratiques, ce sont des “curiosités”. Les gens font de l'acrobatie. Ce n'est pas du yoga. »
« Tout le cours a été super bizarre »
Louise a 28 ans. Elle faisait déjà du « power yoga » mais elle a voulu tenter un cours d » « ashtanga yoga ». Habituée à des mouvement plus doux, elle a un peu halluciné.
« C'était super sportif, et tout le cours a été bizarre. Le prof a commencé par chanter une chanson en indien, tout le monde l'a suivi. Ensuite, il fallait tenir sur les deux mains avec les bras pliés. Je ne sais pas faire ça moi ! »
C'est typiquement dans ce genre de situations que Louise aurait pu se blesser. Elle a d'ailleurs été surprise par le manque d'encadrement de ce cours.
« Il y a des meufs qui viennent pour l'exploit physique. Elles veulent une souplesse de fou. D'habitude, en yoga, il ne faut jamais forcer : le but, c'est d'être pile à l'endroit où tu te sens bien. »
Le yoga victime du marketing
Pour Isabelle Morin-Larbey, il s'agit bien d'un dévoiement du yoga. Elle conseille :
« Si un prof vous dit de vous mettre sur la tête, alors que c'est votre premier cours, partez en courant ! C'est un non-sens.
Un bon prof doit avoir été formé pendant quatre ans, il doit vous poser des questions si c'est la première fois qu'il vous voit, vous demander si vous avez des problèmes de dos, si vous êtes cardiaque, si vous faites de l'hypertension, si vous êtes spasmophile. »
Mais, le yoga est au coeur d'un nouvelle ère marketing, celle où l'on place le mot « zen » à toutes les sauces. Isabelle Morin-Larbey le déplore :
« On propose aux gens d'acheter plein de choses, il y a des cours hors de prix qui sont bondés.
Alors que pour faire du yoga, on n'a besoin de rien d'autre que soi : son corps et sa respiration. On prend l'homme tel qu'il est. C'est hyper subversif, en fait. »


si vous souhaitez voir l'article et les liens vers lesquels il renvoie

cliquez ci dessous

http://www.rue89.com/rue89-sport/2012/01/19/quand-le-prend-pour-un-sport-le-yoga-peut-abimer-le-corps-228464

Partager cet article
Repost0
27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 12:36

voeux-2012-1-2-2.png

Partager cet article
Repost0