Encore la respiration !!! me direz-vous ?

Eh oui. Car, soyons réalistes sans elle, il n'y a plus rien. 

C'est vrai que ce sujet est traité et retraité et le sera encore dans chaque séance de yoga ...

Pourtant le titre m' a un peu déplu : CONTRÔLE DE SON SOUFFLE...

A tout vouloir CONTRÔLER, on va se rajouter du stress..J'aurais préféré "Porter ATTENTION à son souffle pour savourer sa VIE"

Est ce que quelque chose d'aussi vitale que la respiration se contrôle ?

Ne serait-ce pas plutôt une illusion de l'ego de le croire. 

Si vous pensez contrôler votre souffle , ARRETEZ  donc de respirer !

Vous voyez vous ne pouvez pas faire la respiration,  vous êtes respiré(e), comme le dit Jacques Castermane au centre Dürckheim.

Nous vivons dans un monde qui nous pousse à vivre de plus en plus rapidement et de plus en plus superficiellement. Ce sentiment d’urgence, partout et en toute chose, cette précipitation et cette vitesse incessantes, affectent notre respiration. Voici un exercice extrait de Respirons, de Nicole Bordeleau pour mieux gérer vos émotions, maîtriser votre corps et trouver la liberté intérieure.

Certaines personnes, sous l’effet du stress, de l’angoisse ou de la peur, respirent très vite, comme à la surface de leurs poumons.Le cas échéant, le corps n’arrive plus à conserver le bon équilibre respiratoire : il rejette trop de dioxyde de carbone et ne capte plus assez d’oxygène, ce qui peut provoquer des sensations d’hyperventilation, de vertige et d’asphyxie.

D’autres personnes respirent bruyamment, incorrectement ou insuffisamment. Il arrive parfois que chez certains, le souffle se loge dans la partie supérieure du thorax, tandis que le bas de l’abdomen semble privé d’oxygène. Cette respiration, dite thoracique, tend à être plus courte, rapide et superficielle. Chez d’autres encore, on observe le contraire : la respiration se loge dans le bas du ventre, tandis que le haut du corps reste immobile. Ces deux façons de respirer sont incomplètes et souvent responsables d’un état de nervosité et d’une sensation d’épuisement.

Reprendre le contrôle de son souffle, c’est reprendre le contrôle de sa vie. Et pour y parvenir, nous devons apprendre à nous détendre intérieurement, et tout particulièrement le ventre, pour aider le diaphragme à descendre et ainsi favoriser une respiration plus ample et plus profonde.

Pour ma part, il y a vingt-cinq ans, l’idée que je puisse travailler de concert avec mon souffle pour descendre plus profondément en mon corps m’était étrangère. Lorsque j’ai débuté le yoga, tout ce que je connaissais de ma respiration était ce petit va-et-vient de l’air que je percevais parfois dans mes narines. Qu’il puisse y avoir un lien entre ma façon de respirer et ma relation avec l’instant présent ne m’avait jamais effleuré l’esprit. Mais j’ai découvert avec étonnement que le souffle, non seulement nous révèle des aspects cachés de nous-même, mais qu’il en dit aussi long sur notre relation avec l’instant présent et le monde qui nous entoure.

Par exemple, j’ai constaté que lorsque je me sentais mal à l’aise dans une situation, ma posture s’écrasait de l’intérieur. Si je souffrais d’un excès de confiance, mes épaules pouvaient se soulever et j’avais alors l’impression que ma respiration restait cramponnée dans le haut du corps. Mais dès que j’allongeais consciemment mon expiration, je ressentais les forces vivifiantes du bas-ventre qui me supportaient de l’intérieur. Cette découverte de la puissance contenue dans la détente du bas-ventre fut pour moi des plus fascinantes. J’imaginais alors le bas de mon corps prendre la forme d’une poire, comme les chanteurs d’opéra, chez lesquels le bas- ventre s’avance un peu et la région lombaire s’amplifie. Le fait de nous « installer » ainsi dans notre bassin nous incarne en nous-même et nous ancre solidement au moment présent.

Peu de temps après, j’apprenais que le bas-ventre est un réservoir d’énergie vitale que les taoïstes appellent le dan tian inférieur, ou « centre de l’être ». Les authentiques maîtres de kung-fu, les moines Shaolin et les sumos tirent leur puissance physique et mentale de ce centre vital situé sous le nombril.

Avant un combat, les maîtres y concentrent toute leur attention pour y puiser une force énergétique appelée chi, le courant énergétique interne qui met la force de l’être en action. Le dan tian inférieur se trouve à six ou sept centimètres au-dessous du nombril. Certains maîtres en parlent comme d’un point précis, d’autres comme d’une zone d’environ dix centimètres de diamètre. Peu importe le nom qu’on lui donne, que ce soit hara ou dan tian, ce centre énergétique, nous le possédons tous. C’est le point d’entrée qui mène à la totalité de notre être. Et notre souffle connaît la voie pour y accéder.

L’exercice qui suit vous permettra d’en prendre conscience et de faire, petit à petit, l’expérience concrète et vivante de ce que signifie « être calme et centré en soi-même ».

Exercice : Trouver son centre

A DÉCOUVRIR

Cet extrait est tiré de Respirons. Un souffle profond peut tout changer, de Nicole Bordeleau.

Maintenant, voici venu le temps de découvrir votre centre intérieur. Pour mieux vous y préparer, débutez par l’observation du souffle pendant quelques minutes pour libérer le mental. Après ce court moment de méditation, faites ce qui suit :

• Pour localiser le dan tian inférieur et ressentir le chi, asseyez-vous sur le bord d’une chaise, sur vos ischions, les pieds posés à plat sur le sol, le dos droit et vertical, les épaules basses et déposez les mains l’une dans l’autre, à la hauteur du nombril. Vous pouvez aussi vous asseoir sur un coussin de méditation, les jambes croisées ou en position de lotus. Ce faisant, assurez-vous que vos genoux sont situés plus bas que l’os iliaque.

S’ils sont placés trop haut, vous éprouverez des difficultés à localiser votre centre vital.

• Une fois la position adoptée, prenez une dizaine de longues, lentes et profondes respirations abdominales pour libérer toute tension logée dans le bas-ventre. 
• Tout au long de cette pratique, concentrez votre attention en cet endroit, six ou sept centimètres au-dessous du nombril, c’est là la région du dan tian.
• Pour faciliter la détente abdominale, vous pouvez visualiser un ballon d’air chaud se déplaçant dans votre bas-ventre. D’abord, vers le bas et le périnée. Ensuite, le ballon se dirige vers le nombril, puis vers les reins.
• Une fois la détente atteinte, expirez pour vider vos poumons, puis inspirez doucement en prenant votre temps. Dans la phase de l’inspiration, ne faites aucun effort. Laissez l’air « remonter » naturellement. Au cours de l’expiration, assurez- vous de libérer tout l’air stagnant de vos poumons.

Il convient de répéter cet exercice plusieurs fois d’affilée pour en ressentir les bienfaits tels que le réchauffement du corps, l’augmentation de la vitalité, la diminution de la fatigue, la tonification du centre inférieur.

• Détendez bien l’intérieur du ventre, car les sensations dans cette région sont subtiles, mais avec un peu d’entraînement, vous arriverez à les ressentir davantage.
• La première sensation est souvent celle d’une plus grande chaleur. Cette chaleur est suivie d’une impression de plus grande force intérieure. C’est le signe que vous avez découvert votre centre vital. Un conseil : quand on travaille au niveau énergétique avec le souffle, on ne doit pas agir à la hâte. Car si on pousse sur le souffle pour obtenir des résultats, il aura tendance à se faire fuyant. À l’inverse, si on respecte son rythme, son potentiel de transformation est infini. Je vous recommande de pratiquer cet exercice pendant dix minutes, le matin et le soir. Que ce soit pour ressourcer un corps fatigué, pour éliminer des tensions corporelles, pour soulager une douleur, pour apaiser un esprit agité ou pour favoriser un sommeil réparateur, les raisons d’apprendre à respirer de cette manière sont nombreuses. 

article trouvé ici

Pas besoin de vous faire un dessin, vous avez pleine conscience qu’une bonne position assise au bureau est la base d’un dos en bonne santé.

Ça, c’est sûr !

Mais malgré la connaissance de cette maxime ou règle immuable qui traversera le temps après votre mort (désolé si je viens de vous plomber le moral), vous ne respectez pas une position assise conforme à l’étiquette qui demande entre autres d’avoir un dos droit.

Et vous le regrettez car vous avez mal !

Vous avez mal au bas du dos (au niveau des lombaires).
Vous avez mal aux épaules, aux coudes, aux poignets.
Vous avez mal aux yeux.
…

Et vous êtes stressé par votre travail.
Ce stress vous crispe les muscles et accentue vos douleurs.

Vous vous demandez donc comment agir, comment vous sortir de cette situation.

Vous cherchez sur internet et vous trouvez des conseils (notamment ergonomiques) pour améliorer votre positionnement.
J’en propose (mais en mieux ) sur mon site internet, soignervotredos.com.

Mais comment aller plus loin que ces préconisations.

Ecoutez bien…

Ici, nous sommes sur un site traitant des huiles essentielles…
Un site qui vous enseigne comment tirer parti des bienfaits de la nature pour améliorer votre santé et celle de votre famille.

La relation entre mon site et celui de Sandrine est évidente.

J’apporte des conseils ergonomiques et une méthode pour avoir une bonne position assise qui préserve votre dos.
Sandrine, grâce à Aromalin, vous préconise des huiles essentielles pour soulager vos douleurs.

La complémentarité de nos approches est toute trouvée !!!

Je suis préventif dans vos douleurs de dos car je vous empêche de vous avachir derrière votre bureau !
Redressez-vous !
Préservez votre dos !

Aromalin est curatif en soignant vos douleurs grâce à ses préconisations de certaines huiles essentielles dont les propriétés ne sont plus à prouver.

Com-plé-men-ta-ri-té.

Alors voilà comment va être construit cet article.

Je vous parle de vos douleurs et j’y associe un conseil ergonomique ou un conseil de positionnement.
Sandrine vous préconise une ou plusieurs huiles essentielles (ainsi que des recettes) pour soulager les douleurs.

Appliquez nos conseils communs et vous pourrez soulager rapidement votre mal de dos.

LE TRIO QUI FAIT BOBO

« Ouille ouille ouille ! Ils me font mal ! »

OK mais qui sont-ils ?
A eux trois, ils représentent la majorité des douleurs que vous ressentez.

(s’ils avaient été quatre, j’aurai parlé de « carré magique ». Ça aurait eu plus d’allure et de classe que le trio qui fait bobo… mais bon…)

Les trois grandes douleurs sont les suivantes :

• Le mal des lombaires (le bas du dos)
• Les douleurs aux épaules et au cou
• Les tendinites et autres, aux épaules, coudes et poignets (sans oublier le syndrome du canal carpien)

Vous comme moi, ressentez ces douleurs quand on travaille longtemps dans une mauvaise position assise au bureau. C’est radical.

Elles arrivent petit à petit dans votre existence. Au début de votre carrière, c’est une gêne supportable (sauf cas exceptionnels).
Mais plus on vieillit, plus on maintient une mauvaise posture, plus ces douleurs sont présentes et vous pourrissent la vie.

Pour moi, je les ai ressenties très tôt à cause d’une morphologie du dos vraiment pas super et une posture quasiment avachie sur mon bureau.
Heureusement maintenant, je vais beaucoup, beaucoup mieux !! (Vous êtes jaloux, je le sais )

Première douleur : le bas du dos

Quelle sensation de se lever de sa chaise en sentant un mal dans le bas du dos…

Vous avez l’impression de vieillir trop rapidement et sans ménagement…

L’image qui vient tout de suite est celle d’une personne courbée, en appui sur sa canne et qui se tient le bas du dos dans une expression douloureuse.
Vous l’avez en tête ?

Voici comment lutter contre ce mal.

Allez hop, faites l’arbre !

Debout et les bras en l’air pour mimer les branches !

… Ridicule et inadapté au bureau voyons !

En fait, ce que je veux dire, c’est d’avoir les pieds qui reposent fermement sur le sol.

L’objectif est d’avoir de bonnes fondations.

Pourquoi est-ce important ?

Ainsi, vous créez la stabilité de votre position assise.

La stabilité des pieds au sol entraîne une base solide dans votre positionnement.

Imaginez un arbre.
Sans des racines solides, il ne s’ancre pas dans le sol et tombe.

Il ne faut pas avoir :

• Les jambes tendues qui reposent sur les talons
• Les jambes repliées qui reposent sur les pointes de pieds

Les pieds doivent être à plat, enracinés au sol.

Les racines vous ancrent les pieds au sol pour que vous soyez stables.

Ainsi, vous n’avez pas les jambes croisées, véritable supplice pour vos lombaires !

C’est un fléau qui vrille votre bassin, désaxe la colonne et à la longue peut entraîner une jambe plus courte que l’autre. Si si !!

Si vos pieds ne touchent pas le sol, utilisez un repose-pied.

Ou même un vieux livre !

Peu importe, il faut être stable.

Si on veut éviter le mal du bas du dos, celui-ci doit être calé.

Les vertèbres lombaires sont les vertèbres du bas du dos.

Elles sont les moins mobiles du corps, à la différence des vertèbres cervicales qui vous permettent de regarder dans tous les sens.

Il faut donc éviter de trop les « tordre » les unes par rapport aux autres, pour éviter les désagréments.

Si les vertèbres lombaires sont calées, elles sont moins sollicitées.

Si elles sont moins sollicitées, vous pouvez prévoir moins de douleurs.

On cale donc le bas du dos sur la partie inférieure du dossier de notre chaise.

D’où l’importance d’avoir des pieds bien enracinés, comme les pissenlits dans mon jardin (saleté !).

Faites le test.

Soulevez votre chaise au maximum afin d’avoir les pieds dans le vide.

Appuyer le bas du dos sur votre dossier.

Que se passe-t-il ?

Au bout d’un moment, vos lombaires se déplacent vers l’avant, vous glissez de votre chaise.

Comment augmentez-vous la stabilité de votre dos alors (les pieds ne touchent pas le sol, je vous le rappelle) ?

Vous croisez les jambes car ainsi vous avez la sensation d’augmenter cette fameuse stabilité.

Vous êtes convaincu, c’est bon ?

Les pieds ancrés au sol permettent un appui, qui in fine, vous aide à maintenir le bas du dos calé au fond de votre chaise.

Vous avez les pieds fermement posés au sol. Votre dos est calé contre le fond de votre chaise. 

Bien.

Attention à la suite. Votre position n’est pas encore parfaite, vous avez mal aux épaules et au cou.

Pourquoi ?

Car vous êtes avachi sur votre bureau.

En étant avachi, la vue de profil de votre colonne vertébrale forme un C.

En gros, vos épaules partent vers l’avant, elles se rapprochent de votre bassin.

Vous n’êtes pas droit et de ce fait, des tensions se créent dans vos épaules et vos muscles trapèzes.
Des douleurs arrivent au fur et à mesure du temps.

Ces muscles sont fragiles.

En musculation, les bodybuilders à la Arnold Schwarzenegger disent que les épaules constituent le « maillon faible » qui conduit à un corps d’athlète (ressemblant à celui de votre humble serviteur lol !!).

Ce n’est pas pour rien qu’ils disent cela (les boxeurs disent la même chose).

L’échauffement et la protection de cette zone du corps sont essentiels.

Elle l’est également pour vous qui travaillez toute la journée derrière un bureau.

Pour protéger des tensions, à cause d’une position recroquevillée, vous n’avez pas le choix. Il faut se redresser.

Quand vous êtes assis rabougri sur votre chaise, les épaules qui tombent en avant, que fait votre cou ? A votre avis, que fait-il pour que les yeux soient en face de l’écran ?

Exactement, le cou se contracte pour que la tête se relève et que le regard soit dans l’axe horizontal du bureau, pile-poil devant l’écran.

Les contractions prolongées du cou induisent des douleurs.

A la longue, vous souffrez de maux de tête.

La seule solution se redresser.

Ici, je reprends la douleur au niveau des épaules et je l’extrapole.

Comme on l’a vu, une position avachie crée des douleurs aux épaules.

Pour le préciser, dans cette position et afin de taper correctement au clavier, on contracte les épaules pour relever les bras.
Si on redresse sa posture, les épaules se décontractent d’elles-mêmes.
On a donc une bonne position pour taper.

Le top du top est alors de soutenir les coudes pour accompagner le relâchement des épaules.

On le réalise en posant les avant-bras sur le bord du bureau ou en appuyant les coudes sur les accoudoirs de sa chaise.

Attention, des tensions se créent dans les membres supérieurs si le clavier et la souris ne sont pas correctement positionnés.

Si ces éléments sont trop éloignés, vous tendez les bras.
Des tensions apparaissent à la longue aux épaules, coudes, avant-bras et mains.

Elles peuvent se transformer en tendinite, forme avancée de la crispation musculaire.

Si le clavier et la souris sont trop près de vous, de nouveaux problèmes surviennent.

Le conseil de base à appliquer est de positionner le clavier et la souris dans le prolongement naturel des bras.

L’angle épaule-coude-main est de l’ordre de 90°.

Vous êtes alors dans un positionnement biomécanique du corps optimal et les tensions ne se créent pas.

On prévient alors les contractions des muscles qui peuvent dégénérer en tendinites.

• Les pieds sont calés au sol sur toute leur surface (on peut utiliser un repose-pied)
• Le bas du dos est calé sur le dossier de sa chaise
• La colonne vertébrale est droite
• Les épaules sont relâchées avec les coudes et avant-bras qui reposent sur un appui
• Le clavier et la souris sont dans le prolongement naturel des bras

Conseil d’Aromalin pour soulager rapidement le mal de dos

lire la suite et découvrir le site AROMALIN

Bonjour à tous;

J'assume mes cheveux blancs, les rides et tout ce que le temps qui passe me donnent en cadeau  ;-) .  

Toutefois cet article peut amener à se poser des questions !

Les résultats d'une enquête révèlent la responsabilité d'un composant contenu dans une coloration pour cheveux qui aurait causé une allergie mortelle à une jeune femme qui avait abusé de l'utilisation du produit.

Pour le mari de Julie Mcbe, la mort de sa femme "aurait pu être évitée si les étiquettes des cosmétiques attiraient l'attention sur les risques d'allergies". Les résultats de l'enquête sur la mort de sa femme, Julie Mcbe, 39 ans, ont confirmé que le décès est dû à une puissante allergie à l'un des composants appelé "p-phénylènediamine (PPD)" contenu dans une coloration L'Oréal qu'elle utilisait une fois par mois depuis 2005, rapporte le site britannique Dailymail.

Les résultats d'analyse ont également montré que le composant chimique était contenu en très forte quantité sur un tatouage au henné qu'elle s'était fait faire à Dubaï en 2007. "Ce genre de tatouage est à éviter comme la peste", a déclaré le médecin légiste en charge. L'utilisation trop fréquente de sa coloration pour cheveux n'aurait fait qu'aggraver sonallergie. Selon l'enquête, Julie Mcbe aurait été chez le médecin plus de 20 fois pour se plaindre dedémangeaisons, mais sans jamais mentionner l'utilisation de la coloration. En 2011, son mari se souvient l'avoir entendu crier et ne plus pouvoir respirer juste avant de tomber dans le coma. Elle décèdera un an plus tard d'une crise cardiaque.

Pour le médecin légiste, les marques de cosmétiques doivent encourager les consommateurs "à être vigilants à la moindre réaction anormale à l'un de leur produit". La famille envisage d'attaquer la marqueL'Oréal en justice à ce sujet.

article publié ici.